Michel Tirou, le journaliste à qui avait été confié les documents trouvés dans une malle chez les boulangers M et Mme Roger, devait être présent pour parler de cette toute petite royauté que personne ne connaît. Malheureusement malade, c’est Alain Calandreau qui a parlé à sa place.
L’étude des documents a permis de comprendre l’origine du jumelage et d’en apprendre beaucoup sur les coutumes du pays.
Les enfants ont appris que la capitale du Burkistan est Burkisoul mais aussi pourquoi le zébrâne est l’animal emblême du pays : il y a très longtemps, le roi Kahâ VI était tombé dans des sables mouvants et ne put en sortir que grâce au concours d’un zébrâne qui l’a tiré hors de ce piège grâce à une… carotte ! Depuis, c’est un animal sacré.
La barahouette, véhicule omni-polyvalent du pays, a été inventée suite aux péripéties subies par un marchand transporté en palanquin par quatre porteurs et dont deux ont été dévorés par des animaux locaux, les gnious.
Deux porteurs, des roues et voilà la barahouette prête à s’élancer.
L’origine du jumelage date du 1er mai 1860.
Son histoire est plus ancienne. Jean-Baptiste Roumegieras, un botaniste excideuillais, amoureux d’une Burkistanaise, participe à la Révolution à Paris et ramène en Périgord, la belle et une pierre de la Bastille que l’on peut encore voir en ville.
Ils auront une fille qui épousera le pharmacien, M Durmaide.
Ce dernier ira en expédition au Burkistan initier le jumelage.
Les enfants ont aussi découvert des instruments de musique et ont appris une chanson en langue burkistanaise.
Ils ont découvert le drapeau rayé rose et orange, la philosophie double du drigpol et la légende de l’oiseau kuni et du lac noir.
Enfin Alain Calandreau leur a donné rendez-vous à tous le 1er mai prochain pour participer à la fête.
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